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Welcome to Yaourtland Embassy in Japan! \(^o^)/
Bienvenue sur le site de l'Ambassade de Yaourtland au Japon ! \(^o^)/
mardi 31 août 2010
Cap Misaki, Ananas attaque et pause pipi
Après le parc, nous tentons de rejoindre le cap misaki. Hélas à 900m de l'arrivée, nous renoncons devant là force des vents faisant voler des branches, des ananas et des arbres sur là route. Sur notre chemin de retraite, lors de là pause coca de cd, je sors de là voiture pour aller faire pipi. Malgré le typhon, je n'en sors bien pendant que le peuple rigole dans là voiture. Ci joint là photo du coin.
Le parc ananas
Voici notre seul visite de là journée au parc ananas. Une fois de plus le gps nous joue des tours et nous amène sur un terrain vague. Nous parvenons enfin à visiter le parc où Mathieu a pu exorciser ses peurs. Nous avons pu goûter à des tas de produits d'ananas après une visite. Le parc a bcp investi avec un hymne et une danse qui ont ravi Mathieu. Nos joyeux nouveaux compagnons ont été ravi de là visite. À là fin jennifer et moi avons goûté un excellent soba d'okinawa !
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Blessure de guerre
Je me suis fait très mal au pied. Mon ampoule a un peu dégenere.
Ça va un peu mieux après une grosse journée en voiture.
Ça va un peu mieux après une grosse journée en voiture.
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lundi 30 août 2010
À là poursuite d'osaka San
Nous suivons ces traces en visitant le shurijo et la shurijo. Mathieu rentre en bonne compagnie.
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Grillé après la plage
Nous voici après la plage. Cd et Mathieu sont grillés tandis que syl et syb ont l'air ok.
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destination ananas
demain nous allons au parc ananas. c'est le parc où on peut goûter tout sorte de produits à base d'ananas. Mathieu en à des souvenir exquis.
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dimanche 29 août 2010
cd et Sylvie aussi
les autres ne sont pas en reste. vous pourrez reconnaître cd derrière le palmiers dans là salle de repos. Mathieu commence à râler pour mes post déjà. la suite des aventures demain si je suis pas trop fatigué.
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arrivée à Okinawa
Après un périple dans le nord; nous voilà enfin dans le sud à Okinawa pour ses plages. Je souffre, j'ai 2 ampoules sur un pied. j'espere qu'on trouvera là plage demain.
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jeudi 26 août 2010
J = 2+3 : Hakodate, sa vie, son oeuvre...
Scandaleusement harcelé par mon horrible rédac' chef temporaire (Jennifer en somme), me voilà obligé de rédiger un petit quelque chose sur nos deux journées à Hakodate et ses environs. Sachez tout d'abord que cette ville est probablement dans le top 3 des bleds les plus laids de tout le Japon. La phrase " Hakodate, c'est moche ! " a du résonner une bonne centaine de fois depuis le début du séjour. Dans le genre ville industrielle qui a raté l'étape " plan d'urbanisme ", on fait difficilement pire. Quoiqu'il paraît que Sapporo, c'est pire... Hakodate a, en tout cas, l'air d'être une destination particulièrement prisée par les groupes scolaires ou les Chinois... Seul avantage notable : il y fait une chaleur tout à fait supportable par rapport au reste du pays et le petit vent marin est du meilleur effet. C'est sans doute le seul endroit du Japon où il fait moins chaud à l'extérieur qu'à l'intérieur.
L'hôtel dans lequel nous résidons est pour le moins fort sympathique (même s'il ressemble à première vue à un entrepôt de machines à laver) avec une tenancière charmante, particulièrement ravie apparemment que nous ne soyons pas allemands. On lui proposerait bien d'émigrer dans une cité plus en accord avec la qualité de son établissement...
La première journée fut consacrée à une " visite " du bled (" oh les jolis buildings... " ; " oh les beaux hôtels... " ; " oh les énormes corbeaux... ") où la population locale semblait sidérée de constater que non, nous n'étions pas des étudiants étrangers en échange scolaire, mais que nous étions bien là pour notre propre " plaisir ". Au moins, ça nous a permis de repartir avec des posters gratos. Ensuite, nous nous sommes dirigés vers un fort de style Vauban avec un superbe jardin en étoile. On y a notamment appris qu'il était dangereux, voire prohibé pour les petits lapins de se jeter dans les douves. D'ailleurs, cet épisode me permit de maudire les GPS des téléphones qui nous indiquaient une distance de 500m entre la gare et le fort, distance qui s'approcha plus des 5 kilomètres qu'autre chose...
Puis, nous revînmes vers le centre ville, direction le mont Hakodate pour profiter de la magnifique vue de nuit au sommet. Nous croisâmes sur le chemin des maisons de style anglais, russe, français. Rien que du typique en somme. Le fameux sommet sus-nommé ressemblait à une file d'attente un mercredi au Parc Astérix, des centaines de locaux s'agglutinant contre les rambardes ou sur les terrasses pour prendre une photo floue ou trop éclairée des lumières de la ville dans son ensemble. L'endroit semblait très prisé, on sait maintenant ce qui fait marcher l'économie d'Hakodate.
Le deuxième jour fut illuminé par la dégustation d'un crabe (on était quand même venus pour ça, merde), il est vrai plutôt savoureux. Dans la foulée, direction Onumakoen, un parc quasi-national (ne me demandez pas). L'occasion de faire une bonne ballade de 5 bornes à pieds et 14 à vélo. Une aventure trépidante avec des péripéties rocambolesques comme hurler " Tibet libre " à un groupe de touristes chinois pour libérer un spot de photos, rejouer une scène de Duel à deux roues et surtout la promesse de ne pas regarder le Tour de France l'année prochaine après en avoir chié des ronds de chapeaux dans la montée du Tourmalet local. Surtout que mon dernier contact avec un vélo remontait à la 4e et le passage de l'attestation de sécurité routière. J'ai même eu droit à ma propre cascade en début de parcours avec un tout-droit dans une barrière de sécurité et une jambe gauche atomisée, à peine soulageable par notre kiné perso.
Une journée riche en émotion qui eut le mérite, outre de nous faire perdre 7 litres de flotte chacun, de nous éloigner d'Hakodate, ses voitures et ses hôtels... Vivement la cambrousse et les bains en plein air. Et avec tout ce que je viens d'écrire, et surtout l'enthousiasme transparaissant de ce billet, peut-être que Jennifer va tout bonnement m'interdire de rédiger à nouveau sur le blog ! Stay tuned... ou pas ! :P
mercredi 25 août 2010
J=1 : Comment on a passé 11h40 dans un avion, perdu les bagages de Sylvie, trouvé la faille du système antivol du Narita Express et fini devant un bol de ramen…
Lundi 23 août à 17h29, Caro, Baptiste, Cédric, Sylvie, Nicolas et moi sommes montés dans le RER B direction « Aéroport Charles de Gaulles 1 » qui contrairement à ce que son nom pourrait laisser à penser, n’arrive pas du tout au Terminal 1 de l’aéroport Charles de Gaulles, mais au terminal 3 (C’est un piège grossier mais il a laissé beaucoup de voyageurs sur le carreau). Une fois sur le quai, nous avons retrouvé non pas Mathieu (qui nous avait lâchement abandonné pour prendre un taxi) mais Sabrina, une amie qui suit les mêmes cours de Japonais que moi., et qui, en fait, prenait exactement le même avion que nous. Une fois passé l’épreuve du CDGVal, nous avons fini par retrouver Mathieu devant les comptoirs d’ANA pour un « fast check-in » qui a dû être un peu trop « fast » pour Sylvie en fait, mais nous verrons cela plus tard.
Une fois tous les bagages enregistrés, nous sommes allés au sous-sol de l’aéroport pour le traditionnel MacDo avant le voyage.
Et Hop, nous nous sommes installés dans l’avion. C’était parti pour 11h40 de bébés qui pleurent, de films non stop, de sièges à deux (voir avec Cedric et Sylvie) etc. Nicolas et moi étions à côté des sorties de secours, et ce n’est pas à prendre à la légère : au moment de la réservation, nous avons dû vérifier et accepter une quinzaine de points allant du « Vous n’accompagner pas de personnes dépendantes (enfants, personnes âgées, personnes handicapées…) à « vous pouvez vous exprimer en anglais et/ou en japonais », en passant par « vous êtes capables de suivre les ordres de l’équipage en cas de problème et aider les autres passagers à sortir » ou « vous savez ouvrir une sortie de secours » XD. A l’enregistrement, on nous a remis un papier avec les instructions à suivre en cas de problèmes et vérifier qu’on pouvait parler anglais, et une fois installés dans l’avion, rebelote, l’hôtesse est venue nous voir avec les mêmes instructions (ça doit être la couleur de mes cheveux : ils ont préférés répéter au cas où XD)
Bon point, les repas étaient plutôt sympas, sauf que le premier a été servi assez tôt, du coup, nous n’avions pas vraiment eu le temps de digérer le Macdo.
Suite à ce trépidant voyage, nous nous sommes retrouvés dans la longue file d’attente pour la douane (je ne reviendrai pas sur ma pensée concernant le complot mondial des douaniers peu affables). Après une bonne petite heure ou presque, nous avons retrouvé tous nos bagages qui nous attendaient sagement au milieu de l’allée à côté des tapis roulants. Tous ? Non, il en manquait un… le plus voyant… la valise rouge de Sylvie manquait à l’appel ! Après une longue discussion qui a mise en émoi toutes les employées ou réponse du comptoir ANA à Narita, la réponse est tombée : personne n’avait la moindre idée de ce qu’il était advenu de la valise ! Elle avait tout bonnement disparu du système ! (Sachez-le, les systèmes de traçage machin-truc IBM qu’ils vous vendent à la télé, c’est de la blague en vrai !)
Après, avoir laissé les coordonnées de nos 3 prochains hôtels (oui, en plus, on bouge beaucoup la première semaine) , nous avons dû quitter l’aéroport, mortifiés, sans nouvelle de la pauvre valise rouge… et nous avons pris le Narita Express, direction Ikebukuro, le quartier des clubs plus ou moins bizarres, des pachinkos, des jeux d’arcades en tout genre…
Dans le Narita express, ils ont prévu un super système d’antivol pour les bagages avec un code comme dans les piscines. Sauf que ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’est que quelqu’un qui n’a pas dormi depuis un certain (grand) nombre d’heures, genre moi, pourrait par exemple refermer leur système avec le code par défaut (0000) : ce qui engendre une exception provoquant une impossibilité de rouvrir ledit système XD. Heureusement, le chef de gare du terminus a couru à ma rescousse avec sa clef passe-partout magique !!
Enfin, on s’est rendu à l’hôtel, où un message d’ANA nous attendait pour nous informer que la valise de Sylvie avait été retrouvée (on sait pas bien où) et qu’elle nous rejoindrait le 27 au Toya Onsen, le temps de la rapatrier au Japon et de l’envoyer sur Hokkaido. (+1 pour ANA pour la qualité de services quand même, j’en connais qui ont dû attendre bien plus longtemps pour ne pas avoir de réponse du tout) XD
Après avoir déposé nos bagages, nous sommes allés errer dans les rues d’Ikebukuro à la recherche de nourriture. Nous nous sommes arrêtés dans un petit restaurant de ramen, attirés par l’odeur : apparemment, c’était un bon choix, vu que le cuisinier avait été récompensé pour la qualité de ses pâtes et que ça avait l’air assez connu XD Y’en a qui ont pris des suppléments en croyant être à Opéra… Mauvais point, sur 7 personnes, je ne voudrais pas dénoncer, mais il n’y en a qu’un qui a réussi à finir le bol de nouilles géant XD.
Stay tuned !
Ps : je rajouterai des photos dès que j’aurais de nouveau une connexion internet.
Une fois tous les bagages enregistrés, nous sommes allés au sous-sol de l’aéroport pour le traditionnel MacDo avant le voyage.
Et Hop, nous nous sommes installés dans l’avion. C’était parti pour 11h40 de bébés qui pleurent, de films non stop, de sièges à deux (voir avec Cedric et Sylvie) etc. Nicolas et moi étions à côté des sorties de secours, et ce n’est pas à prendre à la légère : au moment de la réservation, nous avons dû vérifier et accepter une quinzaine de points allant du « Vous n’accompagner pas de personnes dépendantes (enfants, personnes âgées, personnes handicapées…) à « vous pouvez vous exprimer en anglais et/ou en japonais », en passant par « vous êtes capables de suivre les ordres de l’équipage en cas de problème et aider les autres passagers à sortir » ou « vous savez ouvrir une sortie de secours » XD. A l’enregistrement, on nous a remis un papier avec les instructions à suivre en cas de problèmes et vérifier qu’on pouvait parler anglais, et une fois installés dans l’avion, rebelote, l’hôtesse est venue nous voir avec les mêmes instructions (ça doit être la couleur de mes cheveux : ils ont préférés répéter au cas où XD)
Bon point, les repas étaient plutôt sympas, sauf que le premier a été servi assez tôt, du coup, nous n’avions pas vraiment eu le temps de digérer le Macdo.
Suite à ce trépidant voyage, nous nous sommes retrouvés dans la longue file d’attente pour la douane (je ne reviendrai pas sur ma pensée concernant le complot mondial des douaniers peu affables). Après une bonne petite heure ou presque, nous avons retrouvé tous nos bagages qui nous attendaient sagement au milieu de l’allée à côté des tapis roulants. Tous ? Non, il en manquait un… le plus voyant… la valise rouge de Sylvie manquait à l’appel ! Après une longue discussion qui a mise en émoi toutes les employées ou réponse du comptoir ANA à Narita, la réponse est tombée : personne n’avait la moindre idée de ce qu’il était advenu de la valise ! Elle avait tout bonnement disparu du système ! (Sachez-le, les systèmes de traçage machin-truc IBM qu’ils vous vendent à la télé, c’est de la blague en vrai !)
Après, avoir laissé les coordonnées de nos 3 prochains hôtels (oui, en plus, on bouge beaucoup la première semaine) , nous avons dû quitter l’aéroport, mortifiés, sans nouvelle de la pauvre valise rouge… et nous avons pris le Narita Express, direction Ikebukuro, le quartier des clubs plus ou moins bizarres, des pachinkos, des jeux d’arcades en tout genre…
Dans le Narita express, ils ont prévu un super système d’antivol pour les bagages avec un code comme dans les piscines. Sauf que ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’est que quelqu’un qui n’a pas dormi depuis un certain (grand) nombre d’heures, genre moi, pourrait par exemple refermer leur système avec le code par défaut (0000) : ce qui engendre une exception provoquant une impossibilité de rouvrir ledit système XD. Heureusement, le chef de gare du terminus a couru à ma rescousse avec sa clef passe-partout magique !!
Enfin, on s’est rendu à l’hôtel, où un message d’ANA nous attendait pour nous informer que la valise de Sylvie avait été retrouvée (on sait pas bien où) et qu’elle nous rejoindrait le 27 au Toya Onsen, le temps de la rapatrier au Japon et de l’envoyer sur Hokkaido. (+1 pour ANA pour la qualité de services quand même, j’en connais qui ont dû attendre bien plus longtemps pour ne pas avoir de réponse du tout) XD
Après avoir déposé nos bagages, nous sommes allés errer dans les rues d’Ikebukuro à la recherche de nourriture. Nous nous sommes arrêtés dans un petit restaurant de ramen, attirés par l’odeur : apparemment, c’était un bon choix, vu que le cuisinier avait été récompensé pour la qualité de ses pâtes et que ça avait l’air assez connu XD Y’en a qui ont pris des suppléments en croyant être à Opéra… Mauvais point, sur 7 personnes, je ne voudrais pas dénoncer, mais il n’y en a qu’un qui a réussi à finir le bol de nouilles géant XD.
Stay tuned !
Ps : je rajouterai des photos dès que j’aurais de nouveau une connexion internet.
dimanche 22 août 2010
Test du client Blogger pour Android
Yop,
J-2 et je teste le client Blogger sur mon Android XD
J-2 et je teste le client Blogger sur mon Android XD
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